L’homme aurait confié la vente à son ami Alan Darlow, un marchand de bien gallois, chargé de jouer les intermédiaires avec Gary Zimet, un marchand de souvenirs de Los Angeles. Ce dernier a confirmé au quotidien avoir tenté en novembre dernier de vendre les biens aux princes William et Harry via leur avocat, sans n’avoir jamais obtenu de retour, cherchant dès lors un autre intéressé. Il en avait trouvé un prêt à lui acheter le tout pour 100 000 livres (environ 140 500 euros), offre jugée trop faible par le propriétaire. Gary Zimet précise que le but de l’ancien sportif est purement financier et cherche à éviter les retombées médiatiques. Il ajoute également que le lot date du début de la relation entre Diana Spencer et James Hewitt et qu’il comporte des mots « innocents » contrairement aux futures missives.
« Je serais stupide de faire ça »
Interrogé par le Daily Mail, James Hewitt s’est défendu d’avoir mis en vente les lettres : « Je serais stupide de faire ça. Je ne vends aucune lettre. Je n’en ai jamais eu l’intention et je n’en aurai pas l’intention dans le futur ». Mais face aux preuves apportées, il a confirmé avoir tenté de les vendre il y a plusieurs années sans avoir réitérer depuis, pointant du doigt le mensonge de Gary Zimet à propos de lettres qu’il veut « garder jusqu’à ce que je meurs ». Le palais de Buckingham, lui, est resté sous silence.
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source : MYTF1News – People